Aujourd'hui, c'est le milan royal qui survolait le pré à côté de chez nous. Il faut dire que ce dernier venait d'être fauché, cela avait dû déranger les petits mulots, proies faciles pour ce grand rapace. Sur les photos, il n'y en a qu'un, mais en fait, il y en avait au moins une dizaine qui tournoyaient au-dessus du pré.
Je rajoute cette photo dont la prise de vue n'est pas excellente, mais on peut voir comme le milan vole vraiment bas et tout près des maisons. De plus, on peut voir son plumage sous un autre angle.
Bonjour Françoise,
RépondreSupprimerComme ce milan royal est beau, je crois que j'en ai jamais vu un d'aussi près, tes photos sont une pure merveille c'est vraiment super d'avoir tous ces oiseaux près de chez toi, nous on en vois quasiment plus à part des bébés hirondelles prisent dans leur nid hier en fin d'après-midi.
Je te souhaite un bon weekend
Gros bisous !
Floralie
Bonjour Floralie
SupprimerOui, ce milan royal est beau, et celui-ci était vraiment tout près de la maison.
J'ai la chance de vivre à la campagne, dans un endroit calme, où les oiseaux peuvent voler, se poser, en toute liberté. :-)
Bon début de semaine à toi, Floralie. Gros bisous.
Bonjour Françoise.
RépondreSupprimerChez moi, les milans sont souvent chassés par les corneilles et cela rend les prises de vue moins belles que les tiennes.
Bonjour Philippe
SupprimerIci, les milans sont nombreux, aussi les corneilles ne leur font pas peur, ils cohabitent, il y a de la place pour tout le monde. :-)
Bon début de semaine, Philippe.
Et bien quelle chance d'en avoir vu autant ! C'est vraiment un très bel oiseau et tu as réussi parfaitement tes photos. Bisous et bonne semaine
RépondreSupprimerOui, c'est une chance, en effet, Manou, et je la savoure. :-)
SupprimerBonne semaine à toi aussi, bisous.
Tu dis que le dernier cliché 'est pas une réussite et bien moi c'est celui que je préfère. j'adore ce style de photo insolite.
RépondreSupprimerMoi aussi, j'aime cette photo, mais disons qu'elle n'est pas dans les "normes".... :-)
SupprimerBonne semaine à toi, Myrte.